Les grands principes du secret dans le monde littéraire
Comme tous les acteurs de la chaine éditoriale, l’expert littéraire reste évidemment astreint à une obligation de retenue, fondée sur plusieurs principes éthiques de discrétion. Voici quelques aspects clés :
Définition et portée : Le praticien ne doit pas divulguer les renseignements reçus de leurs clients ou découverts pendant leur travail, à moins qu’ils ne soient déjà publics ou révélés avec le consentement explicite de son ayant droit.
Objectif : Cette discrétion vise à protéger la vie privée des auteurs et à maintenir leur confiance. Elle leur permet de communiquer ouvertement avec leur conseiller, en sachant que leurs données personnelles et professionnelles sont sécurisées.
Exceptions : Il peut arriver que nous soyons tenus de déclarer certaines informations sous contrainte judiciaire ou lorsque le silence pourrait représenter un danger sérieux pour la santé ou la sécurité d’un individu.
Conséquences en cas de violation : Les experts littéraires qui ne respecteraient pas le secret professionnel peuvent faire face à des répercussions juridiques, y compris des poursuites civiles.
Importance dans la pratique : Maintenir le secret professionnel est une nécessité pour établir et préserver la crédibilité et l’intégrité de nos relations. Cela apparait même essentiel dans des cas sensibles, comme l’authentification d’œuvres ou l’examen de documents privés.
Nous considérons, quant à nous, que le secret professionnel constitue un pilier fondamental de notre éthique professionnelle. Le Corrigeur garantit la confidentialité des informations à caractère secret, personnelles ou professionnelles, qu’il a collectées au cours de son activité concernant tant ses clients que la nature des travaux qu’il lui a délégués.
Foire aux questions
Qu’est-ce que le secret professionnel pour un expert littéraire ?
Le secret professionnel implique pour un expert littéraire une obligation légale et éthique de garder confidentielles toutes les informations reçues de ses clients ou découvertes dans l’exercice de ses fonctions, sauf si ces informations sont déjà publiques ou si le client donne son consentement explicite pour leur divulgation.
Quelles sont les informations couvertes par le secret professionnel ?
Toutes les informations concernant les manuscrits, les correspondances, les notes de travail, ainsi que toute communication personnelle avec l’auteur, sont protégées par le secret professionnel.
Existe-t-il des exceptions à la règle du secret professionnel ?
Oui. Des exceptions existent, comme la divulgation requise par la loi sous contrainte judiciaire, ou en cas de danger imminent pour la sécurité ou la santé d’une personne.
Comment les informations confidentielles sont-elles protégées physiquement et numériquement ?
Les mesures incluent le chiffrement des données, le stockage sécurisé des fichiers, l’accès restreint aux informations et la formation continue sur les meilleures pratiques de sécurité. Le Corrigeur ne branchera pas non plus sa caméra lors des vidéoconférences de façon à éviter toute divulgation involontaire de l’image d’un texte confidentiel.
Le secret professionnel s’étend-il aux assistants ou aux collaborateurs de l’expert littéraire ?
Oui. Toute personne travaillant avec ou pour l’expert littéraire est également tenue de respecter le même niveau de confidentialité par des accords de non-divulgation et des politiques internes.
Existe-t-il une différence dans le traitement du secret professionnel entre différents pays ?
Oui. Le cadre juridique peut varier significativement entre les pays, influençant ainsi les obligations spécifiques de confidentialité. Il est important de se renseigner sur les lois locales. La sous-traitance de la correction ou de la PAO hors de l’Union européenne fait courir un risque aux entreprises qui le pratiquent.
Comment puis-je discuter en toute sécurité de mon projet avec Le Corrigeur ?
Assurez-vous que toutes les communications se déroulent depuis des canaux sécurisés, tels que des courriels chiffrés ou des plateformes de communication sécurisées. Évitez les logiciels de vidéoconférences non sécurisés, tels que Zoom, House Party, et Cisco Web ; n’utilisez pas des adresses de messagerie telles Hotmail (chantage à la réputation) ou Yahoo (failles récurrentes de sécurité), ou celles venant de juridictions avec des lois de surveillance invasives.